critique
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Le projet solo du producteur toulousain Emmanuel Mario “L'infini, l'Univers et les Mondes” nous transporte sur la planète pop et cosmique.
De retour avec Cuz I Love You, la Texane Lizzo livre une ode à l’acceptation de soi et s’affirme comme l’une des porte-voix progressistes de la scène rap américaine.
Les Californiens s'émancipent de la scène garage psyché avec un album-fleuve surprenant.
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Pas de voyeurisme mais beaucoup de bienveillance dans cette mosaïque touchante de vidéos, dans lesquelles des ados dévoilent leur homosexualité à leur entourage.
La fable enlevée de Teona Strugar Mitevska contre le patriarcat qui se désagrège malheureusement dans son emballage final.
Sebastián Lelio filme le portrait essoré d’une cinquantenaire fêtarde en mal d’amour.
Trois ans après le merveilleux “The End of Comedy”, Michael Collins, alias Drugdealer, revient avec “Raw Honey” une collection de pop songs imprégnées de notre mémoire collective.
Enregistré en deux heures, le quatorzième album studio du géant fragile affiche un dépouillement acoustique à la poésie évidente .
Ils ont vieilli, mais ils sont toujours aussi antipathiques : Guillaume Canet recycle les personnages des “Petits Mouchoirs” dans une suite dépourvue de la moindre bonne idée. Pénible et inutile.
Auteur de films courts marquants et plébiscités, le duo Caroline Poggi et Jonathan Vinel passe au format long et réalise un film de mutants modernes sur l'enfance et le deuil. D'une fulgurante beauté.