critique
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L'album posthume d’un maître du rock américain à la coule
Le Californien signe une lettre aux accents pop superbement ciselés, à retrouver d’urgence sur scène.
L’icône du rhythm’n’blues américain et des droits civiques, reste toujours aussi engagée et enthousiaste. Amen.
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Avec Zac Farley, le romancier culte Dennis Cooper traite à nouveau du désespoir adolescent, mais sans sa coutumière violence sexuelle. Poétique et fascinant
Pedro, la vingtaine, s’exhibe devant sa webcam pour gagner sa vie. Un portrait délicat et pop signé Filipe Matzembacher et Marcio Reolon qui saisit les violences de la société brésilienne.
Sept ans après, les Liverpuldiens font leur grand retour. Et entraînent le rock des 50's dans leur petit manège hypnotique à la richesse sonore impeccable.
Deux ados à l’esprit vengeur, une réalisation clipesque… Si l’ambition séduit, le film pèche par excès d’assurance et un certain manque de substance.
Chroniques de la misère contemporaine dans un album implacable mais pop.
C'est en imaginant une nouvelle BO pour Le Locataire de Polanski que le groupe suédois trouve une voie plus personnelle. Et signe des bijoux de pop mélancolique.
Groupe spirituel s'il en est, Big Thief revient avec un troisième album comme une invitation à l'inconnu. Une quête qui manque parfois de concret.
