critique
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L’errance d’un prêtre portugais persécuté dans le Japon féodal. Un film à l'atmosphère mystérieuse, qui a inspiré à Martin Scorsese son remake de 2016.
Avec “Introducing Juan Pablo”, son deuxième album, Juan Wauters offre une pop douce-amère sur les pas sensibles de Jonathan Richman.
Un détenu intègre un programme de réhabilition au contact de chevaux sauvages. Matthias Schoenaerts impressionne dans ce premier film par moments convenu mais courageux.
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Sans jamais tomber dans la facilité, Jane Weaver revisite son répertoire le temps d’un disque suffisamment intense et envoûtant pour avoir les atours d’une expérience inédite.
Dans un village de montagne perdu, Georges, qui a tout sacrifié pour un blouson, rencontre Denise, aussi doucement fêlée que lui. Un film comme un étrange autoportrait du réalisateur, avec un Jean Dujardin à son meilleur.
Le trajet émouvant d’une héroïne défigurée à l’acide qui questionne la nature du regard porté sur le corps féminin.
La détresse silencieuse d'une famille en difficulté financière scrutée avec une rigueur mélancolique.
S'il est impossible de réduire le champ d'activités de Kate Tempest à la musique, c'est bien avec un nouvel album que la Londonienne effectue son retour, toujours aussi sensible et concernée socialement.
Vingt-quatre heures dans la vie d'une femme. Un premier film sur la charge mentale, un peu trop démonstratif.
Le second film de Scorsese consacré à la légende américaine est disponible sur Netflix. A des images dotées d'une énergie et d'une vitalité proprement phénoménales et à une mise en scène mêlant le vrai et le faux s'ajoute la vision d'un Bob Dylan qui n'a jamais semblé aussi heureux.