critique
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Au service de l’indie rock depuis plus de vingt-cinq ans, les Texans discrets de SPOON dressent leur bilan sous la forme d’un best-of subtil.
Ressortie d’une œuvre charnière de Godard, condensé de l’air du temps de 1966. Entre fiction et réflexion sur le capitalisme en mutation, il filme en banlieue le quotidien de prostitution occasionnelle d’une jeune mère de famille, incarnée par Marina Vlady.
Luc Besson réactive à nouveau sa fantasmatique de la femme guerrière en y tramant cette fois des résonances post-MeToo. Son savoir-faire en matière de thriller paraît bien déliquescent.
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La fin inéluctable d’un couple traitée avec délicatesse et humour.
Ce film d'animation japonais entraîne deux adolescents dans un voyage océanique et cosmique des plus extraordinaires. Un récit envoûtant rythmé par la musique du compositeur de Miyazaki.
Un biopic bien sage et policé sur les amours de Virginia Woolf et Vita Sackville-West.
La poupée maléfique devient un catalyseur pour esprits frappeurs dans un film d’horreur assez attachant.
Avec son nouveau film, Carlos Sorín fait de l’arrivée d’un jeune garçon pauvre chez un couple dans un village de Patagonie la subtile métaphore d’une xénophobie actuelle et décomplexée.
Mise en scène habilement malgré une psychologie sommaire, l’histoire au long cours des trois nuits qui précipiteront un homme intègre vers sa chute.
Comment convaincre l'opinion publique de l'innocence d'une jeune femme ? Un film de procès appliqué mais pas assez habité.