critique
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Huit morceaux electro autour du deuil et de la fin du monde par le Britannique Benjamin John Power. Noir, violent et sublime.
Yoni Wolf se raconte avec candeur sur un sixième disque pop et introspectif.
Le premier spinoff de la franchise “Fast and Furious” est aussi le plus désinvolte et le plus rafraîchissant de ses épisodes.
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Deux flics mis à pied après une bavure basculent dans une spirale criminelle. Un polar expérimental tellurique qui aurait largement mérité une sortie en salle.
L’adaptation brillante des mémoires d’une falsificatrice de correspondance littéraire. Melissa McCarthy, entre désespoir et classe burlesque, impressionne.
Le nouveau film du Philippin Lav Diaz nous plonge dans un futur dystopique. Une nouvelle et passionnante évocation politique de son pays et du monde d’aujourd’hui, fragilisée par une forme corsetée.
Deux amies tentent de se reconstruire au milieu des ruines de l'URSS d'après-guerre. Le deuxième film d'un jeune réalisateur russe de 27 ans, fort en émotions malgré quelques défauts.
Après l'impressionnant Hérédité, deuxième coup de force du prodige du cinéma d'épouvante : une extase mi-morbide, mi-dionysiaque, là où le soleil ne se couche jamais.
Le chef-d’œuvre absolu de Bergman, par lequel il récapitule son œuvre, mais aussi l'excède, la transcende, la réinvente. Présenté dans sa version longue, le film est sublime de bout en bout.
Réédition de l'œuvre tardive, entre France et Portugal, du grand cinéaste chilien décédé il y a presque huit ans. Quatre joyaux de poésie fantasque et d'humour matois.