critique
{"type":"Banniere-Haute"}
Pour son second album sous le nom d’Octave Noire, Patrick Moriceau persiste et signe le manuscrit de sa veine pop synthétique, minimale mais sophistiquée.
Loin du noise de ses débuts, le groupe de Brooklyn trouve un nouveau souffle à travers des ballades crépusculaires.
Entre onirisime, abstraction et poésie, les deux musiciens imaginent à quatre mains et à huit pistes une musique inclassable.
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Dix ans après leurs débuts, les Américains de Real Estate cristallisent leurs angoisses existentielles sur un cinquième et élégant album à la formule revisitée.
Un documentaire à la première personne qui détaille de manière poignante le calvaire d’un jeune homosexuel d'aujourd’hui, au Kurdistan irakien.
Comment apprendre à vivre quand on se croit condamné ? Un premier long impressionnant de maturité malgré quelques coquetteries esthétiques.
Un récit d'apprentissage trop académique sauvé par l'intensité des acteurs et la sensibilité de la caméra.
Un habile coup d’essai sur l'amour empêché et la maladie, porté par un trio d’actrices brillantes.
Ressortie d’un documentaire aux enjeux toujours actuels qui retrace une mobilisation citoyenne contre l’implantation d’un site nucléaire en Bretagne.
Un pot-pourri des productions Pixar, non dénué d'habileté mais un peu vide d'enjeux.