critique
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Le saxophoniste californien convoque des sonorités hip-hop pour agrémenter “Fearless Movement”, son hymne à la joie qui convie Thundercat et George Clinton, entre autres.
Dans le numéro de mai un gros dossier spécial USA avec, entre autres, les démocrates américain·e suspendu·es aux lèvres de Taylor Swift et un dossier sur le mystérieux Q qui se cache derrière QAnon, galaxie d’allumé·es complotistes d’extrême droite.
Par cet objet intrigant, Shin’ya Tsukamoto filme les stigmates visibles et invisibles de rescapé·es japonais·es après la Seconde Guerre mondiale.
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Avec le réalisateur Igor Gotesman aux commandes, Pierre Niney se donne le beau rôle et les autres acteur·rices font ce qu’ils et elles peuvent pour relever le goût de cette comédie convenue.
La star nigérienne nourrit sa révolte d’un puissant sentiment d’urgence pour mieux dynamiter avec ses orages électriques la France colonialiste et ses complices.
Le premier films des Vénézuéliens Alejandro Rojas et Juan Sebastián Vásquez pousse un couple au point de rupture. L’occasion aussi, de jeter un œil angoissé dans les coulisses oppressantes d’un bureau de l’immigration.
Les prolifiques frères D’Addario enchaînent les pépites éblouissantes pour se hisser une fois de plus au top de la pop.
Avec son humour habituel mais jamais répétitif, la dessinatrice française signe un western désopilant peuplé d’animaux en tout genre.
João Salaviza et Renée Nader Messora signent un film précieux en immersion auprès d’un peuple indigène qui lutte pour sa survie.
Inspiré par une histoire vraie, Pascal Bonitzer signe une comédie romanesque et portée par un casting impeccable.