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“Pour de vrai”, le premier album d’Ichon est un pur kiff

Le Bon Gamin signe un premier album introspectif et suave qui, délivré des codes du rap game, dévoile une touchante quête de vérité.

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“Adolescentes” : l’art du portrait selon Sébastien Lifshitz

Dans son œuvre la plus dense, Sébastien Lifshitz chronique les mues d'Emma et Anaïs, qu’il a suivies de leurs 13 à leurs 18 ans. Un précipité bouleversant de notre époque.

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Isabelle Huppert, la “Daronne” qui cherche à s’évader (en fumant des joints, par exemple)

Cette comédie policière sur fond de trafic de drogue vaut surtout pour le plaisir évident que prend l'actrice à passer d’une panoplie fantasque à l’autre.

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“Outrage”, le film féministe d’Ida Lupino dans le Hollywood des 50’s

Passée derrière la caméra, l’actrice Ida Lupino explorait, dans le Hollywood encore corseté des années 1950, les traumas d’une jeune femme victime de viol.

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“Rocks”, un film bancal sur des ados défavorisé·es

Les tribulations de deux enfants livré·es à eux·elles-mêmes dans un milieu urbain raciste. Malgré une attention portée sur des sujets souvent invisibilisés, le film ne parvient pas au bout de de son entreprise naturaliste.

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“Sole”, un film italien d’une grande et simple beauté

Un jeune paumé s’attache à une mère porteuse immigrée. Loin de s’appesantir sur les thèmes qu’il effleure, le film puise ses émotions dans le jeu de miroirs entre ses deux acteur·trices.

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Paul Vecchiali cinéaste virtuose avec “Un soupçon d’amour”

Une comédienne ne pense qu’à son fils, délaisse son mari et ne veut plus jouer – mais sa vie entière ressemble à un grand théâtre…Il n’a plus rien à prouver, mais maestro Vecchiali épate encore par l’aisance virtuose et la générosité de sa mise en scène. 

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Toujours indie-pop, Cults renaît en beauté avec l’album “Host”

Madeline Follin et Brian Oblivion reviennent, fidèles à une certaine idée de l’indie-pop à la new-yorkaise. Et c’est (très) bon.

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A-t-on aimé “Aimée”, le nouveau Julien Doré ?

Avec son cinquième album, l’artisan pop le plus populaire de France troque ses souffrances amoureuses contre l’angoisse collapsologique. Sans rien céder pour autant sur l’humour et l’efficacité mélodique.

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Bright Eyes de retour tout en pop orchestrale

Après neuf années d'absence, les garçons tristes du Nebraska sont devenus adultes. Et c'est plutôt bien.

Le magazine

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