critique
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Le Bon Gamin signe un premier album introspectif et suave qui, délivré des codes du rap game, dévoile une touchante quête de vérité.
Dans son œuvre la plus dense, Sébastien Lifshitz chronique les mues d'Emma et Anaïs, qu’il a suivies de leurs 13 à leurs 18 ans. Un précipité bouleversant de notre époque.
Cette comédie policière sur fond de trafic de drogue vaut surtout pour le plaisir évident que prend l'actrice à passer d’une panoplie fantasque à l’autre.
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Passée derrière la caméra, l’actrice Ida Lupino explorait, dans le Hollywood encore corseté des années 1950, les traumas d’une jeune femme victime de viol.
Les tribulations de deux enfants livré·es à eux·elles-mêmes dans un milieu urbain raciste. Malgré une attention portée sur des sujets souvent invisibilisés, le film ne parvient pas au bout de de son entreprise naturaliste.
Un jeune paumé s’attache à une mère porteuse immigrée. Loin de s’appesantir sur les thèmes qu’il effleure, le film puise ses émotions dans le jeu de miroirs entre ses deux acteur·trices.
Une comédienne ne pense qu’à son fils, délaisse son mari et ne veut plus jouer – mais sa vie entière ressemble à un grand théâtre…Il n’a plus rien à prouver, mais maestro Vecchiali épate encore par l’aisance virtuose et la générosité de sa mise en scène.
Madeline Follin et Brian Oblivion reviennent, fidèles à une certaine idée de l’indie-pop à la new-yorkaise. Et c’est (très) bon.
Avec son cinquième album, l’artisan pop le plus populaire de France troque ses souffrances amoureuses contre l’angoisse collapsologique. Sans rien céder pour autant sur l’humour et l’efficacité mélodique.
Après neuf années d'absence, les garçons tristes du Nebraska sont devenus adultes. Et c'est plutôt bien.