critique
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Assis sous son porche, le Loner revisite ses protest songs du passé pour s’en prendre au présent. Un anticonformisme à double tranchant.
[Best of musique 2020] Réédité en version augmentée et fastueuse en septembre dernier, le légendaire Sign o’ the times de Prince, disque charnel et spirituel, convoquait, en 1987, un demi-siècle de musique.
Avec son cinquième et meilleur album, Róisín Murphy prouve que les dancefloors ne peuvent toujours pas lui résister.
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Avec sa relecture du mythe de la naïade, Christian Petzold signe un récit d’une incandescence folle, passion amoureuse teintée de fantastique.
L’éternelle icône des nuits parisiennes illumine l’automne avec un recueil de chansons qu’elle revisite avec une énergie sans cesse renouvelée.
Avec son nouveau groupe, L'Œil Nu, la Montréalaise délaisse sa techno existentielle pour s'essayer aux chansons avec de sublimes réussites.
L’explorateur tunisien signe un deuxième album intense qui fait le pont musical entre le Maghreb et l'Inde.
Une bourgeoise expatriée voit son petit théâtre mondain menacé par la liaison de son mari. Finement mis en scène, ce thriller psychologique soigne son atmosphère trouble et ses effets de surprise.
Avec son huitième album, le génial Sufjan Stevens revient aux brumes électriques de The Age of Adz et poursuit son exploration au scalpel de l'Amérique.
