critique
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Le Français sublime sa plume en visitant ses zones d’ombre. Envoûtant.
Cinéaste célébré, John Carpenter a réalisé sa grande évasion : si le cinéma reste une inspiration, il s’en est libéré pour être, avant tout, un musicien.
Mélodies sensibles, réflexions introspectives : le rappeur strasbourgeois fait de son premier LP un as de trèfle qui pique le cœur.
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Armando Iannucci offre un lifting fantaisiste au classique de Dickens, mais en occulte totalement la force politique.
Quelques figures discrètes de l’underground hexagonal sortent un premier album à guitares sans tomber dans le revivalisme.
Des cartes postales envoyées par un héritier électrique de Leonard Cohen s’agencent en un étourdissant échafaudage.
Le saxophoniste du groupe rennais poursuit son chemin de traverse discographique en publiant un premier album solo à la fois tellurique et aérien.
Réjouissante surprise, “i, the bastard” est la première échappée solo du membre d’Evergreen, tout en hybridité mélodique et rythmique.
La Californienne Sasha Spielberg, alias Buzzy Lee, s’est entourée de son ami Nicolas Jaar pour façonner un splendide premier album de pop cristalline.
Le DJ et producteur belge Stephen Fasano, figure de la house hédoniste, fête la centième référence de son concept de Magic Tape avec un mix irrésistiblement dansant.