critique
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Julian Barnes écrit un livre hybride et passionnant qui croise l'empereur romain Julien l'Apostat et une éminente intellectuelle.
Nicolas Bedos mouille à Nice pour une parabole fourre-tout sur l’argent, le désir et les femmes, consolidant son titre de réalisateur le plus misogyne et vulgaire de France.
Reprise, dans une copie magnifiquement restaurée, d'un classique de Luis Bunuel dans sa période mexciaine. Génial !
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Deux chefs-d'œuvre de Yasuzō Masumura de 1966 ressortent en salles dans une version restaurée.
Un teenage movie sur le deuil et le pouvoir de l'humour pas totalement accompli.
Toujours aussi précise dans son écriture satirique cette fois dorée au soleil sicilien, la deuxième saison de “The White Lotus” déplie une mécanique de vaudeville sophistiqué sans atteindre la densité émotionnelle de la précédente.
De gros moyens, un casting poids lourd pour, à l’arrivée, une fable burlesque sous vide.
Film noir sous influences multiples, le premier long métrage de Dmytro Sukholytkyy-Sobchuk secoue formellement quitte à sacrifier la profondeur de son récit et de ses personnages.
Explorant depuis dix ans une sphère infiniment mouvante aux confluents du post-rock, de l’ambient, du free-jazz et de l’électro, ce groupe hors normes livre un disque de très haut vol.
Huit ans après “Bayonetta 2”, la sorcière queer du jeu vidéo est de retour pour une nouvelle aventure aussi folle que réjouissante, cette fois dans le multivers.