critique
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Disney rend sa traditionnelle copie de fin d’année avec “Avalonia, l'étrange voyage”, un récit d’aventures inclusif, idéaliste et écologique, disponible directement sur Disney+. Il en résulte surtout un devoir maison bâclé et manquant de finesse.
Entre deux saisons, “The Witcher” revient avec un préquel de quatre épisodes, largement dispensables.
Ce nouveau volet creuse encore davantage la veine du “whodunit” léché pour mieux en dynamiter les codes.
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Si l'on ne cède pas à la facilité du “Emily in Paris” bashing, cette série se conçoit comme un concentré de l'époque et de ses désirs, qui se regarde sans déplaisir.
Ressortie en salle de trois comédies conjugales savoureuses réalisées dans les années 1930 par Ernst Lubitsch. Une dissection pleine de malice, aussi lucide que cruelle, du couple hétérosexuel.
Premier film de Kamila Andini à être distribué dans les salles françaises, “Une femme indonésienne” tisse des histoires et réflexions qui ne sont pas tout à fait abouties.
Sur Netflix, Alejandro González Iñárritu signe une autofiction symboliste d’une lourdeur et d’une fatuité proprement sidérantes. Bon courage pour regarder jusqu’au bout.
Riche en propositions ludiques fortes, l’année a été marquée par quelques tendances lourdes et motifs récurrents : la crainte de l’apocalypse, l’importance du texte, la présence du politique, le parti pris de faire confiance aux joueur·euses… Voici nos 10 élus.
Ce dimanche 18 décembre sur la scène de l’Accor Arena, l’artiste espagnole a clôturé de la plus belle des manières sa tournée (et notre année) avec une prestation aussi millimétrée qu’impulsive. Un grand geste pop absolument captivant.
Hlynur Pálmason confirme son immense talent et offre une plongée minérale dans son île.