critique
{"type":"Banniere-Haute","device":"desktop"}
Son enfance en Argentine durant la dictature, le silence imposé, la résistance organisée entre femmes. Autant de sujets au cœur du nouveau roman de Laura Alcoba.
Le Canadien stakhanovioste revient titiller l’inconscient grâce à ce sens de la narration musicale dont il a le secret.
L'infatigable formation d’Hoboken propose une divagation musicale maîtrisée et un questionnement délicat sur l’état du monde et du temps qui passe.
{"type":"Banniere-Basse","device":"desktop"}
Adaptée d'un best-seller d'Ann Napolitano, la série “Dear Edward” ausculte le deuil d’une galerie de personnages ayant perdu parents ou proches dans un crash d’avion.
Guillaume Nicloux rejoue le confinement dans une parabole fantastique qui arrive un peu tard et patauge dans les banalités.
Au-delà de l’ode un peu trop poétique sur le passage des saisons, un film attendrissant sur une histoire d’amour qui ne se dit jamais, et le portrait réaliste de la transformation de la Chine actuelle.
25 ans après un rite initiatique païen qui avait mal tourné, le passé et la violence ressurgissent soudain dans un petit village portugais.
Le réalisateur Philippe Petit nous raconte une autre histoire de la politique à partir d’un appel à projets pour un terrain vague à Marseille.
Entre théâtre, documentaire et heroic fantasy, “Lucie perd son cheval” de Claude Schmitz est une œuvre qui interroge le métier d'acteur·trice et les forces falsificatrices de la fiction.
L’écrivain interroge les racines historiques et culturelles qui font des États-Unis “le pays le plus violent du monde occidental”. Un texte glaçant qui confronte une nation à ses propres démons.