critique
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Après une décennie de carrière amorcée par le méconnu “Recto verso”, le nouvel et mélancolique album du Belge, star du rap francophone, traduit des envies de confessions. Mais qu’en est-il vraiment ?
Le premier solo de Lou Fauroux s’attaque à bras le corps, mais en communauté inclusive, aux monopoles des GAFAM. Films, sculptures et installations développent une fiction spéculative où Google aurait développé un programme d’immortalité. Une révélation.
Le cofondateur d’Animal Collective confirme en solo une orientation tout en retenue de ses expérimentations, au long d’un quatrième album d’une savante humilité.
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Le Brestois déroule quelques-unes de ses thématiques les plus chères d’une plume aiguisée dans une atmosphère musicale plus dépouillée qu’à l’accoutumée.
Des chansons intimistes et sans fard : cette tête chercheuse de Londres, au talent digne d’une Laura Marling, signe signe “InFlux”, album obsédant.
Pour son dixième album, le duo fraternel renoue avec sa science du big beat et son habilité à faire suer les foules.
Le portrait terrifiant d’une femme folle d’amour dans un monde d’hommes cruels et sans pitié.
Ce quintet, né à Barcelone et éprouvé à Londres, mixe sur “Dragging the Needlwork for the Kids at Uphole” son indie pop à une approche slowcore. Un refuge pour l’hiver.
Entre folk feutré et pop ouvragée, le songwriter canadien se surpasse une nouvelle fois.
Ivan Viripaev, Rachid Ouramdane, Angelin Preljocaj, Katie Mitchell… Voici notre sélection de spectacles à voir cette semaine.