critique
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Avec ce remake d’un titre paru initialement sur la Wii, le blob faussement régressif de Nintendo revient joyeusement à la plateforme en 2D.
Le Marseillais d’adoption va au-delà de la recette musicale (bouzouki et rythmes syncopés) qui a fait sa réputation. Et nous emporte des recoins plus ténébreux ou, parfois, solaires.
Inspiré, le chanteur majuscule diffracte la lumière de son récent album et fait miroiter de splendides nouvelles chansons.
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Trop souvent réduit à son personnage de freak, le Britannique fait entrer le rap et le punk en collision avec un message clair : apprendre à s’aimer soi-même.
Après un passage instrumental, le musicien français revient au chant, déployant son écriture distinguée comme une chic orchestration pour “Les Cent Prochaines Années”.
Après plusieurs années d’attente, la chanteuse et productrice franco-algérienne passe au format long avec “Al Hadr”, digne d’une rencontre entre Sade, Steve Reich et Deena Abdelwahed.
Après “Shuggie Bain”, l’Écossais Douglas Stuart revient avec “Mungo”, portrait d’un adolescent fracassé sur fond de Glasgow, de misère et d’homophobie. Un fleuve d’amour, virtuose et politique.
Dans “Les Archives des sentiments”, un archiviste compulsif se demande si on peut ranger l’amour dans un dossier. La réponse oscille entre panique mélancolique et humour fou, par le Suisse Peter Stamm.
La première réalisation de Michael B. Jordan n'échappe pas à certaines lourdeurs, mais offre un bel écrin à la révélation Jonathan Majors.
Son chef-d’œuvre “Die” dialogue avec “Guernica”. “Black Is Beautiful”, première rétrospective d’envergure en France de cette artiste afro-américaine née en en 1930, est déjà l’une des expositions de l’année.