Claude Arnaud
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Dans “Juste un corps”, Claude Arnaud se dit dominé par un corps qui le mène et malmène jusqu’à ce que l’esclave se rebelle contre son maître en dégainant le glaive de la littérature, grave, drôle, affranchie.
Un retour qui, aux chemins balisés de l’autobiographie, préfère la randonnée hors piste dans une mémoire ancestrale, gorgée de mythologies poétiques.
Avec ses Portraits crachés, Claude Arnaud propose une anthologie légère et instruite qui caracole de Montaigne à Houellebecq. Tours et détours d’un genre littéraire aux multiples facettes.
L’intranquille Claude Arnaud donne un troisième chapitre à son œuvre d’autofiction et poursuit sa quête identitaire sensible.
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