chronique
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Dix vedettes sont dans un bocal. Qui rit ? Qui sort ? Et que regarde-t-on vraiment ?
Le songwriter basé en Autriche revient avec un troisième album de pop gracieuse, pensé pour accompagner tous ces moments où l’on songe aux années écoulées avec un rien de mélancolie.
Skrillex, Honey Dijon, The Neptunes, A.G. Cook… Un casting 5 étoiles se succède sur le septième album solo de Beyoncé. De quoi acter un véritable renouveau artistique ? Parlons plutôt de “RENAISSANCE” comme d’un disque désinhibé, en quête de plaisirs charnels et de lâcher-prise sur la piste de danse.
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Avec “Gemini Rights”, le surdoué de Compton renouvelle les noces du funk et de la soul dans des morceaux vulnérables, tubesques et engagés dans une relation libre avec la pop et la bossa-nova. Une immense réussite.
Un troisième album solo qui dit ce à quoi ressemble la vie du Montréalais aujourd'hui : des synthés, du bidouillage sonore et des mélodies cosmiques qui rappellent que les films de Kubrick n'ont pas été vus en vain.
Des chansons interdites de lumière, une interprétation vibrante, des nappes électroniques : voilà ce que l’on appelle un album indispensable.
Sans doute pas un album majeur ni parfait, “Tout peut arriver” n’en reste pas moins le disque d’un artiste guidé par le seul désir de se faire plaisir.
Avec un quatrième album ouvert et intensément mélodique, l'Anglais·e ne semble répondre qu’à deux pulsions : l’urgence de dire et la nécessité d’être.
Là où “Racine carrée” bousculait les codes de la chanson francophone, “Multitude” se révèle moins visionnaire, plus sociétal, mais toujours aussi vulnérable. Décryptage d’un troisième album qui, malgré le succès promis, pose quelques questions.
Malin, efficace et émouvant, Rivers Cuomo prend notre pessimisme à contre-pied – et à revers du bon goût sur “Van Weezer”, son nouvel album.