Cannes 2024
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Le réalisateur de “Donbass” chronique son pays en guerre dans un docu ample et saisissant.
En déroulant par le menu le réveillon de Noël d’une famille de la middle class américaine, cet espoir du ciné indé prolonge le geste nostalgique de son premier film, le fabuleux “Ham on Rye”.
Paul Schrader revient en compétition à Cannes pour la première fois depuis 1988, avec une méditation aussi retorse qu’épurée sur les méandres de la mémoire, le pouvoir de la captation et les illusions d’une vie qu’on croit réussie.
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Un·e invité·e se dévoile en répondant à nos questions indiscrètes. Aujourd’hui, l’actrice Anna Mouglalis, à Cannes pour “La Mer au loin” de Saïd Hamich Benlarbi, présenté en séance spéciale à la Semaine de la critique.
Une fable écologique originale, par l'auteur de “Ma vie de courgette”.
Avec ce récit en trois parties distinctes sur l’impossibilité de la liberté, Yórgos Lánthimos offre un successeur un peu sec à “Pauvres Créatures”, mais un vrai terrain de jeu pour ses acteur·rices.
Truffaut par Truffaut, le bouleversant portrait d'un grand cinéaste disparu trop jeune
On parlait d’hier de l’usage des jeux vidéo par le cinéma. Parfois leur protocole organise la dramaturgie et la scénographie d’un film – "Furiosa". Parfois leur matière prend le relais de l’image cinématographique le temps de quelques séquences (dans "Les Fantômes" en début de festival, dans "Eat the Night" de Caroline Poggi et Jonathan Vinel – présenté la semaine prochaine à la Quinzaine des cinéastes et dans lequel un jeu vidéo ouvre sur un monde où s’exaucent utopies et désirs).
A depiction of how first-time feature filmmaker Alexis Langlois manages to perform an embalming, through a combination of baroque distortions and crazed deference centered around the YouTube pop-culture of the 2000s, which in its process, comes quite close to De Palma's own intent when it came to Hitchcock's filmmaking - in short, how mannerisms can take hold of post-cinema.
Loin d'être acquise, la parité femmes-hommes dans le cinéma avance à très petit pas, comme le démontre le second bilan du collectif 50/50.