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Avec “How to Save a Dead Friend”, Marusya Syroechkovskaya expose douze ans d’une vie de rien où le besoin d’échappatoire guide l’intime et les images. Poignant.
Entre plateaux de cinéma et chambres à coucher, le cinéaste américain orchestre un fascinant badinage entre Adèle Exarchopoulos, Ben Whishaw et Franz Rogowski.
Les archives du musicien américain nous offrent ce “Picture of Bunny Rabbit” à la beauté fragile, nouveau disque posthume centré sur son instrument fétiche : le violoncelle.
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Boots Riley dépeint les aventures d’un ado hors normes, dans une création à la mise en scène en surrégime.
Les gamins de Brooklyn sèment le trouble avec un nouveau disque complètement débridé.
Le troisième album du Californien, compagnon de route de Ty Segall, alterne électrique et acoustique dans un écrin psychédélique du plus bel effet.
L’Irlandais délaisse les guitares en fusion de son groupe explosif pour dévoiler le crooner mélancolique et solaire qui sommeille en lui.
La cinquième escapade solitaire du guitariste de Strokes est une réussite ludique et généreuse.
Figure incontournable de la mode, Rick Owens en dérange certain·es et en fascine beaucoup d’autres. Cinéma, rasage de sourcils, TikTok et pénis qui dépassent des tuniques : conversation libre avec The Lord of Darkness.
À 26 ans, l’artiste, qui n’est pas sans rappeler un certain Basquiat, s’apprête à présenter ses peintures, sculptures et installations oniriques à Paris.