cafeyn
{"type":"Banniere-Haute"}
Au Festival d’Avignon, le duo berlinois Susanne Kennedy et Markus Selg redéfinit la frontière une réalité virtuelle entre paradis et enfers dans un dispositif scénique où les mondes s’interpénètrent pour mieux se confondre.
Fyzal Boulifa signe le double portrait d’une mère et son fils dans un Maroc aussi dur que dangereux. Puissant.
Avec “Sirène, debout – Ovide rechanté”, l’autrice américaine donne voix aux personnages des “Métamorphoses” longtemps condamnés au silence. Un exercice stimulant, plein de fougue et de vie.
{"type":"Banniere-Basse"}
Sur la même longueur d’onde scénaristique, la série d’Andy Siara paraît bien pâlichonne à côté de son aînée.
Après les “Vies et mort de Mike Brant”, Serge Airold déchaîne tous les feux de la littérature avec ce récit entre évocation historique, réflexion politique et embardées poétiques.
La jeunesse sonique de Chicago est de retour. Et le trio surprend par sa force de frappe autant que par sa sensibilité.
Reprise d’une tragédie en costumes où les dandys s’abîment dans l’amour. Un sommet de lyrisme froid présenté à Cannes en 1981.
Au-delà de son dispositif éprouvé, la magie de l’œuvre du cinéaste turc opère dans ses contradictions et sa fragilité.
Un épisode de l’émission “Le Meilleur des mondes”, sur France culture, propose un échange autour du “desktop movie” “Femmes sous algorithmes”, documentaire d’un nouveau genre qui se nourrit de GIF, de captures d’écran et autres vidéos YouTube.
Le premier traite du réchauffement climatique, le second adapte Boris Vian : deux nouveautés françaises qui, malgré des partis pris bien différents, vont vous permettre de vivre des expériences inédites.