cafeyn
{"type":"Banniere-Haute"}
Le quatuor féminin est de retour avec un nouveau trésor pop plein d’inventivité. Sous les nappes des synthétiseurs, les harmonies vocales touchent l’âme sans coup férir.
Entre ascension et régression, la Texane ravive souvenirs intimes et pop surannée.
Le Roumain étrille les perversités de la mécanique néolibérale dans un collage narratif virtuose.
{"type":"Banniere-Basse"}
Dans ce huis clos où se rejoue une affaire-phare des années 1970, Arieh Worthalter et Arthur Harari sont admirables.
As de la mise en scène, le dessinateur français consigne son mal-être passé et ses frustrations dans une nouvelle série qui fait suite à son vaste “Journal”.
Grâce à un très haut niveau de pop psyché, le quatuor de Baltimore redonne foi en une musique sans concession et, plus largement, en l’humanité tout entière.
Classiques sans être passéistes, les Écossais font de la mélancolie la plus belle des harmonies.
La musicienne française, toujours aussi subtile, dévoile une superbe collection d’oscillations synthétiques miroitantes.
Épaulé par Cate Le Bon, l’Américano-Vénézuélien part dans une exploration synthétique autant qu’introspective.
Le quatuor revisite les codes de son identité et parachève sa mue entamée sur “Wink”, parfois aux dépens de son énergie punk.