cafeyn
{"type":"Banniere-Haute"}
Cette émission s’est, contre toute attente, solidement installée dans le paysage hexagonal dès la première saison. La deuxième a couronné Keiona le 25 août dernier, avant que la troupe ne parte en tournée en France. Blandine Rinkel, journaliste et autrice, analyse les raisons de ce succès.
À la fois pointu dans ses analyses et sensible à la musique populaire, ce programme anglophone réserve de passionnants moments et fait preuve d’une étonnante diversité.
Le long métrage signé Vanessa Filho pâtit, avec un sujet aussi sensible, de ses partis pris formels maladroits.
{"type":"Banniere-Basse"}
[Hors-champs #2] “Barbie”, ou comment mettre le féminisme au service du mercantilisme le plus retors.
Ce mois-ci, le cool se niche dans un personnage multisupport, dans les pages d'un bouquin, chez un couturier historien, dans une résurrection punk.
Alors que vient de paraître le magnifique “Everything Is Alive”, retour sur le parcours cabossé du groupe de Neil Halstead et Rachel Goswell.
Avec son éternel costume et sa coupe peroxydée, Zaho de Sagazan s’est fabriqué un personnage façon Bowie qu’on n’oublie pas. À 23 ans, elle remplit déjà des Zénith en chantant les tourments de la vie. On l’a rencontrée à Paris entre deux dates de tournée.
Son talent de cinéaste éclate grâce à un premier long métrage mystérieux et bouleversant, porté par Hafsia Herzi.
Par sa beauté plastique et ses questionnements bouleversants, le film d’Iris Kaltenbäck tisse une toile de mensonge autour d’Hafsia Herzi, grande héroïne de fiction.
Dans “L’Opposé de la blancheur – Réflexions sur le problème blanc”, l’autrice de “Rouge Impératrice” signe un essai sur un sujet qui reste un point aveugle du débat public : la reconnaissance des ravages du colonialisme et de l’esclavage.