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De volutes méditatives en boucles répétitives, l’Américain livre un journal intime sonore riche en nuances.
Une évocation libre du fantasque maître catalan, interprété par plusieurs comédiens, sur laquelle plane aussi un esprit buñuelien.
Son histoire avait été racontée dans “La guerre est déclarée” : le jeune homme de 22 ans fait aujourd'hui son analyse dans “C'est bientôt fini”, un premier spectacle impressionnant de maîtrise.
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Avec son violon électronique et sa formation classique, la vingtenaire hybride la techno avec brio.
Une immense boîte mentale qui traverse les genres et les époques, quelque part entre Lynch et Cronenberg.
Avant de découvrir en salle “La Bête”, bouleversant mélodrame adapté d’un court roman d’Henry James, Bertrand Bonello évoque avec nous quelques motifs récurrents de son œuvre, qui fera l’objet en février d’une rétrospective à la Cinémathèque française.
Celle qui est depuis début janvier aux manettes de l'émission culte de France Inter nous parle de ses passions pour Stevie Wonder ou les bonbons à la menthe.
Le grand écrivain israélien sème le trouble dans les relations entre hommes et femmes.
Organisée autour de deux textes clés de Roland Barthes et Hervé Guibert, l’exposition “À partir d’elle. Des artistes et leur mère” convoque les thèmes de la trace, de la disparition, de la cocréation et de la portée conjuratoire ou thérapeutique de la photographie.
Prenant modèle sur l’écrivain W. G. Sebald, la metteuse en scène remonte le temps pour nous proposer un portrait de groupe de sa troupe. Et met au jour les influences communes qui en constituent les liens.