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Endeuillée, l’artiste scandinave convoque ses disparus pour un déchirant tour de train fantôme lynchien intitulé “Big Anonymous”.
“Sans jamais nous connaître” : Andrew Scott et Paul Mescal, amoureux solitaires entourés de fantômes
Lorsque Adam retourne dans la maison de ses parents défunt·es, il les trouve tel·les qu’il les a laissé·es avant leur accident. Un exaltant voyage signé Andrew Haigh.
Ce sont des pépites que nos journalistes chérissent : il est grand temps de sortir ces albums de leur quasi-anonymat injustifié.
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De la pop orchestrale réjouissante, par un duo franco-australien hyper-classieux : “Please Wait...” est à écouter sans attendre. Recommandé (aussi) par Paul Weller.
Il reste peu de temps, mais prenons-le pour empêcher les haineux d’imposer leurs mots et leur pensée.
Tandis que l’industrie de la mode est confrontée à son manque d’inclusivité, créateur·rices, mannequins et chercheur·ses interrogent les clichés autour de l’Orient qui imprègnent les représentations, les créations textiles et l’histoire même de la mode occidentale.
Deux séries, sorties à quelques semaines d'écart, mettent en scène des personnages en lutte avec une homophobie intériorisée se diffusant au-delà de leur simple cercle intime.
Après avoir consacré des années au synthétique, le touche-à-tout français donne plus de place aux guitares, tout en conservant son ADN pop.
Ce vendredi 9 février, on retrouve également dans les bacs : l'album de Helado Negro et celui de Kali Malone. Bonne écoute !
L’organiste américaine s’approche au plus près du cœur battant de son projet artistique : capter sur le temps long l’essence sacrée du sentiment humain.