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La discrète mais influente légende de la scène indé US se (dé)livre en une poignée de titres à la large palette rock.
Toujours doté d’un sens mélodique à toute épreuve, le quintette du New Jersey livre un album d’indie pop délicat et réconfortant.
On les aimait en 2002, on les retrouve aujourd’hui aux Inrocks Festival : The Libertines, un groupe qui nous parle, qui nous lie, et en couverture de notre numéro de mars.
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La chanteuse et productrice continue d’alimenter son journal intime avec ce qui pourrait bien représenter son album le plus accompli à ce jour. Avec, en bonus, des feats de Mura Masa, Shygirl ou Blood Orange.
Après sept ans d’absence, la cofondatrice de Stereolab propose une virée onirique où chœurs célestes et harmonies complexes forment un univers personnel et poétique sans équivalent.
Pour prendre le pouls des tensions raciales en Amérique, l’écrivain revisite un siècle de racisme violent aux États-Unis à travers le prisme d’un roman policier contemporain.
En mettant à nouveau en scène un double fictionnel, le Coréen signe une œuvre habitée, dans tous les sens du terme.
Jason Yu, ancien assistant-réalisateur de Bong Joon-ho, signe une comédie d’horreur grinçante autour de l’arrivée d’un enfant.
Le 20 février 1984 paraissait le premier album des Smiths. Un trésor toujours influent, dans lequel Morrissey avait investi toute sa vie, tous ses fantasmes, tous ses rêves. Un disque prétendument raté mais important par un groupe fondamental : la petite histoire de Manchester entrait dans la grande.
Le réalisateur de “P’tit Quinquin” orchestre un combat intersidéral dans son univers familier du Boulonnais... et fait cohabiter le chaos et la grâce à chaque plan.