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Le deuxième film de Léonor Serraille échoue à vouloir cocher toutes les cases.
La réalisatrice oregonaise consacre à un personnage de femme artiste un puissant portrait pétri de solitude, de travail et d’une singulière tristesse.
[Spécial écrivaines oubliées 1/9] Établie à Paris durant la Belle Époque, l’Anglaise écrivit en français une œuvre trop tardivement reconnue. Un recueil rassemble ses poèmes empreints d’une liberté vécue.
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Pour sa première rétrospective en institution parisienne, Anita Molinero décloisonne le musée d’Art moderne. Afin de laisser s’exprimer brute et magistrale la violence sociale tout autant que la part pulsionnelle des matériaux de la rue, la sculptrice leur donne forme en les défigurant selon un ensemble de gestes explorés depuis près de quatre décennies.
La première exposition institutionnelle française d’une artiste qui renouvelle la pratique et la pensée du médium est à découvrir au Carré d’Art – musée d’Art contemporain.
Le monde s’est arrêté ? Profitons du surplace pour faire l’amour, danser et boire 35 rhums au bar d’hôtel d’un pays lointain. Une belle enclave sensuelle et musicale.
Construit comme un thriller, le premier roman de l’auteur espagnol Munir Hachemi dénonce les dérives de l’agriculture intensive.
Dans son nouveau film, Pános H. Koútras porte un regard humble et humaniste sur la société occidentale à travers les yeux de “Dodo”, représentant ressuscité d'une espèce de volatiles disparue.
Baz Luhrmann signe un film somptuaire et intelligent sur un King presque trop divin pour les formules consacrées du genre biopic.
Pour son deuxième film, la cinéaste palestinienne Maha Haj porte un regard à la fois puissant et libéré sur la souffrance d'un peuple.