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Une flamboyante et éphémère odyssée par le réalisateur de “Trainspotting” et le scénariste de Baz Luhrmann. Un pogo parfois maladroit et anarchique qui se laisse regarder.
[Spécial Sexe] L’actrice française nous parle de désir, de puissance érotique, d'imaginaire et de libération.
Moins branleur qu’il n’y paraît, le groupe de Leeds cultive sa singularité sur “Down Tools”, un troisième album rafraîchissant et tous azimuts.
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“Loggerhead” est trempé dans l’acide de l’époque, à l’intersection du hardcore et d’ambiances plus intimes.
Dansante et sensuelle, la synthpop du Britannique verse dans le trafic d'influences multigénérationnelles sur l’album “Jim, I’m Still Here”.
Il y a, dans le champ des images, une filiation discrète et néanmoins incisive. Une manière autre de capter les corps, les présences, et plutôt que de les saisir, par l’acte toujours unilatéral d’une représentation, de les transir. À peine, dans leur mouvement, comme un souffle. Une énergie, donc, une rémanence plutôt qu’une trace de passages plutôt que de photons.
Bien soutenu par Pelle Gunnerfeldt à la production, le gang suédois publie neuf brûlots ardents à l’humour très noir.
En adaptant la nouvelle de Tchekhov, le metteur en scène russe questionne la liberté de l’artiste, signant une pièce aux accents mystiques.
La 76e édition du festival, l’ultime sous la direction d’Olivier Py, s’offre une très riche programmation, tournée vers l’ailleurs et l’identité féminine.
La paire franco-américaine embarque de chouettes invités à bord d’un premier album riche en émotions et en prouesses techniques.
