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La thématique, chère au cinéaste, trouve ici son incarnation la plus bigarrée. Touchant.
Dans un livre impressionnant de force, le photographe portugais nous emmène là où il a grandi, à Margem Sul, une zone industrielle située en face de Lisbonne.
De New York à Paris en passant par le Brésil, une exploration passionnée des multiples visages du mouvement.
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“MK 3.5: Die Cuts/City Planning” s’appréhende comme un état des lieux de la grande forme et du génie des deux producteurs.
Sur l’utilisation de la photographie, du film et de la vidéo dans l’Arte Povera, cette exposition en deux lieux entend réveiller la perception tout autant que faire descendre l’art de son piédestal. Où l’intérêt historique se mêle à une actualité renouvelée.
Avec Denis Podalydès dans le rôle-titre, le directeur de la Schaubühne de Berlin met en scène un poème crépusculaire d’un monde où toutes les valeurs chavirent.
Une ode au rock débraillé par un trio canadien qui n’a rien perdu de l’énergie de ses années adolescentes.
Quand Sally Poppy est condamnée à mort, elle se déclare enceinte. Un jury de femmes délibère et peut épargner sa vie. “Le Firmament”, au scénario digne d’une série à suspense écrit par l’Anglaise Lucy Kirkwood, est servi par une belle troupe.
La série de Donald Glover, née il y a six ans, est capable, à son meilleur, de nous révéler des visages vrais de l’Amérique.
Michael Winterbottom nous offre un tableau tout aussi impitoyable que touchant de la gestion de la crise du Covid par le gouvernement anglais, intrinsèquement liée au bilan politique de Boris Johnson, son chef sur cette période.