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benoit magimel
Malgré un Benoît Magimel qui réveille avec éclat les réminiscences de son rôle dans “Pacifiction”, un buddy movie sans grande consistance.
![Victime d’un scénario informe, “Omar la Fraise” ne décolle pas](https://lesinrocks.web-staging.com/wp-content/thumbnails/uploads/2023/05/WEB2afaaff05911-t-850x540.jpg)
Un film d'époque sans grande inspiration sur le destin d'une “femme à barbe” à la fin du 19e siècle réveillé par la flamboyante vitalité de Nadia Tereszkiewicz.
Emprunté, suave, faux jeton, exubérant, embobineur, exagérément onctueux et profondément toxique : Benoît Magimel est génial dans “Pacifiction” d’Albert Serra. L’occasion de faire un point sur une traversée de 35 ans du cinéma français, amorcée à 12 ans dans “La vie est un long fleuve tranquille”, et qui, en 2022, entre “Revoir Paris”, “Incroyable mais vrai” et le chef d’œuvre d’Albert Serra connaît une apothéose.