Andrea Arnold
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In Andrea Arnold's new film “Bird”, the British filmmaker returns to her social vein, introducing to the working-class suburbs of England an entire magical bestiary which appears life-saving and salutary amidst the violent daily life of a young girl.
Dans “Bird”, le nouveau film d’Andrea Arnold, la cinéaste britannique renoue avec sa veine sociale, en introduisant dans la banlieue prolétaire anglaise, tout un bestiaire magique.
La réalisatrice britannique sera l’invitée d’honneur de la Quinzaine des Cinéastes et recevra le prix lors de l’ouverture de la sélection, le 15 mai prochain.
L'actrice serait envisagée pour le rôle principal de “Featherwood”, un polar inspiré d'une histoire vraie signé Andrea Arnold.
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Un film sur le deuil à l’adolescence, un autre qui nous aide à supporter le chaos des villes et le dernier Quentin Dupieux : découvrez sans attendre les films de la semaine.
Si la cinéaste britannique Andrea Arnold nous revient avec un documentaire sur Luma, une vache laitière dont on suit le quotidien, il ne semble pas fou d'y trouver les mêmes traces de cinéma de fiction qu'elle esquisse depuis 20 ans, à savoir les réalisations de grandes héroïnes. Une femme, une vache, et la beauté, la sensualité, la souffrance. Les sillons de l'âme qui tentent de goûter à la liberté.
Andrea Arnold déroute avec un film sans parole en caméra embarquée auprès d’une vache et de son petit.
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