Le retour de Stranger Things, les adieux de Orange is the New Black et le come-back des Chevaliers du Zodiaque, le début de l’été s’annonce brûlant sur Netflix.
Séries
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Stranger Things, saison 3 (4 juillet)
Cela ne fait aucun doute : les huit épisodes de la saison 3 de Stranger Things seront l’événement série de l’été. Si le show SF des frères Duffer canalise à ce point toutes les attentes, c’est que depuis la fin de la bataille pour le trône de Westeros, Stranger Things a hérité du titre de programme toujours en activité le plus populaire du petit écran. Une hégémonie totale qui pourrait être un peu plus renforcée par une cuvée estivale des blockbusters ciné qui sent fort le réchauffé (Men in Black, Godzilla 2, Aladdin…).
https://youtu.be/XcnHOQ-cHa0
La Casa De Papel, partie 3 (19 juillet)
Phénomène surprise de la fin de l’année 2017, la série espagnole revient pour un troisième volet. Alors que la fin de la saison 2 semblait offrir une conclusion satisfaisante au destin de Tokyo, Denver, le Professeur et les autres, celle nouvelle partie annonce un braquage toujours plus délirant orchestré avec encore plus de maestria que les précédents. L’un des membres de la bande a été capturé et le seul moyen de lui venir en aide tout en protégeant la location secrète des autres est de tous les réunir pour entreprendre cette fois-ci le plus grand casse jamais imaginé. Ambitieux coup de poker ou déjà saison de trop ? Réponse le 19 juillet.
Orange is the New Black, saison 7 (26 juillet)
6 ans déjà sont passés depuis l’arrivée d’Orange Is The New Black et il est venu le temps de faire nos adieux aux détenues du pénitencier de Litchfield. Un départ qui s’annonce lacrymal autant pour le spectateur que pour les actrices du programme comme le révèle ce teaser dans lequel le casting de la série circule sur le plateau de tournage en y révélant ses coulissant tout en chantant, la voix noyée par l’émotion, le thème iconique du générique. Plus largement, cette conclusion de Orange Is The New Black symbolise au même titre que l’arrêt d’House of Cards en novembre dernier, la fin de la première vague de programmes à succès du catalogue Netflix initiés au milieu des années 2010 avec également Sense8, Daredevil et Narcos.
Films
Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal de Steven Spielberg (1er juillet)
Dernier épisode de la célèbre saga de l’archéologue au fouet, Le Royaume du Crâne de Cristal est aussi le moins aimé. Sa ressortie dès le 1er juillet sur Netflix paraît être l’occasion parfaite de redonner une seconde chance à ce quatrième volet qui 10 ans après sa sortie a bien vieilli. Pas révolutionnaire dans la filmographie de Spielberg mais un divertissement nerveux et inventif propulsé à toute vitesse qui prouvait déjà que le cinéaste en avait encore sacrément sous le capot et qui annonçait sa très très grande forme à venir pour les années 2010 (Lincoln, Le pont des Espions, Pentagon Papers, Ready Player One).
Peur de rien de Danielle Arbid (1er juillet)
Le catalogue Netflix est suffisamment avare en bons films français que ne pas mentionner l’ajout de Peur de rien de Danielle Arbid serait une petite injustice. Passé un peu inaperçu à sa sortie, le troisième film de la cinéaste dépeint l’arrivée à Paris de la jeune libanaise Lila au milieu des années 90. Un portrait intime et limpide avec la révélation Manal Issa mais aussi avec un génial (forcément) Vincent Lacoste et Dominique Blanc, sublime en prof d’histoire de l’art.
Anime
Saint Seiya : Les Chevaliers du Zodiaque (19 juillet)
Aussi attendue que redoutée, une nouvelle adaptation de Saint Seiya va voir le jour cet été sur la plateforme de streaming. Produit par Netflix en collaboration avec le célèbre studio nippon Toei, l’anime mettra en scène une nouvelle fois le destin des chevaliers, protecteurs de la déesse grecque Athena. Si le choix d’une animation tout en images de synthèse 3D qui délaisse l’esthétique old school de la série mythique des 80’s risque de faire hurler un bon nombre de fans, ces douze épisodes de ce Saint Seiya version 2019 devraient apporter un peu de fraîcheur à l’univers tout en ravivant les souvenirs des âmes nostalgiques du Club Dorothée.
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