Stand-uppeuse et chroniqueuse sur Inter, elle s’offre un nouveau challenge : une série bien à elle, “Jeune et golri”.
“Je suis souvent déçue quand j’entends parler de sexualité. J’ai l’impression qu’on n’en parle jamais de façon honnête, réaliste, non-esthétisante, rigolote… Comme c’est un sujet qui me passionne et que j’ai reçu une éducation assez décomplexée sur le sexe, c’est devenu le sujet de mon premier spectacle de stand-up : Ma bite et mon couteau.”
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Cinq ans plus tard, à 30 ans, Agnès Hurstel s’apprête à sortir sa première série – Jeune et Golri –, où une jeune humoriste tombe amoureuse d’un père de 47 ans, joué par Jonathan Lambert. On retrouve dans cette série d’autres jeunes talents de stand-up comme Marie Papillon, Paul Mirabel et Lison Daniel des Caractères.
Entre “Girls” et ”Fleabag”
C’est après un parcours très académique et quelques années de galère qu’Agnès Hurstel découvre le stand-up et s’y épanouit. Rapidement repérée par France Inter, elle anime une chronique dans La Bande originale de Nagui et fait ses premières armes de showrunneuse sur des formats courts pour Arte et Canal+.
À la fois créatrice et actrice principale de Jeune et Golri, elle y affirme un ton qui lorgne autant du côté de la féminité sans fard de Girls que de l’humour décomplexé de Fleabag. Elle sera aussi à l’affiche du prochain film de Michel Hazanavicius, et elle cocrée et coécrit en ce moment l’adaptation pour Amazon de L’Auberge espagnole.
Jeune et Golri de Agnès Hurstel, Léa Doménach et Victor Saint Macary. Sur OCS City à partir du 2 septembre
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