En cette année quasi-dystopique, le cool fait dialoguer la chair et le virtuel dans des présences et des manifestations engagées.
Dans ces liens qui libèrent
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
Comme une Leigh Bowery des temps modernes, la créatrice de lingerie toute de nœuds et de rubans Michaela Stark fait du sous-vêtement une œuvre d’art et un questionnement des injonctions jusqu’à la sphère de l’intime.
Instagram @michaelastark
Ambiancé·e dans son salon
Le projet L’Appart chez moi, initié par la DJ et militante contre la grossophobie Barbara Butch, a organisé des teufs dématérialisées pendant les périodes de confinement, permettant de recréer une communauté malgré l’isolement pesant.
Instagram @appartchezmoi
En meeting Instagram avec Janaya Future Khan
L’ambassadeur·rice du mouvement Black Lives Matter délivre des discours, débats et sermons inclusifs sur son compte Instagram, croisant problématiques intersectionnelles, politiques, et visant à s’adresser au plus grand nombre.
Instagram @janayathefuture
Militant·e 3.0
Lancé par la journaliste Rokhaya Diallo (en référence à sa bande dessinée du même nom), le hashtag #mexpliquepaslaviemec dénonce les comportements patriarcaux. Un pas de plus dans la lutte contre le sexisme ordinaire.
Rhabillé·e pour l’hiver
Entre haute couture artisanale, high-tech, avant-garde expérimentale, le label parisien Alphonse Maitrepierre chahute ses défilés de performances et annonce une nouvelle vague de créations françaises qui refuse les clichés accolés à la Ville Lumière.
Instagram @alphonsemaitrepierre
Face au corps de Luc Bruyère
“Né avec un seul bras et un visage très photogénique”, dixit le Huffington Post, cet acteur, mannequin et artiste transformiste de cabaret lutte par la visibilité contre une société et une culture encore profondément validistes.
>> A lire aussi : Comment se développent les contre-cultures à l’ère de TikTok
{"type":"Banniere-Basse"}