La rencontre entre Moose Knuckles et Eckhaus Latta, la nouvelle adresse de la boutique concept ODA, le vestiaire De Fursac relu par l’artiste De Rrusie et l’histoire de la maison Dior vue par Sarah Moon… voici le cool de la semaine.
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Le détournement de vêtements d’extérieur signé Eckhaus Latta et Moose Knuckles
Large parka à l’esthétique space opéra, jupes fendues, ensemble molletonné transformé en vêtements de soirée : l’univers survolté du duo américain d’Eckhaus Latta se frotte à la maison canadienne experte de l’outwear Moose Knuckles. Au fil de cette capsule technique, l’univers underground d’Eckhaus Latta se déploie dans de nouvelles matières et textures et déploie un vestiaire entre rave et ultraféminité.
Au 127 rue du Temple, dans le studio de décoration intérieure ODA
Acronyme d’“objets d’affection”, ODA est un studio multidisciplinaire qui propose un service de décoration intérieure, de sourcing de pièces de design et de scénographie. Fondé en 2020 par Ève Ducroq et Arnaud Dollinger, le nouveau showroom aux lignes seventies, inspiré du décor du film A Single Man de Tom Ford, s’installe dans le quartier parisien du Marais. Au programme, de larges fauteuils aux motifs orangés ou des buffets en bois sculptés style renaissance : les époques s’hybrident.
La collaboration entre Fursac et le jeune peintre autodidacte De Rrusie
La maison masculine connue pour ses costumes aux coupes impeccables s’associe avec l’artiste d’origine camerounaise De Rrusie pour une capsule de douze pièces. Costume minimaliste en laine noire, long manteau en cachemire et chemise droite composent un vestiaire sobre et confortable, pensé pour un corps en mouvement, entre ville et atelier.
Au fil des pages de l’ouvrage Dior par Sarah Moon
Sarah Moon figure parmi les photographes de mode qui définissent une nouvelle représentation de la féminité au cœur des années 1980. Ici, elle capture les silhouettes Dior et remonte les archives de la maison dans un ouvrage divisé en trois parties. La première présente les silhouettes architecturales de Christian Dior, fixées en noir et blanc. La seconde sonde le temps avec des pièces signées Saint Laurent, Marc Bohan, Raf Simons et Maria Grazia Chiuri, qui est également au cœur des images du dernier volume. “C’est à travers ses images que j’ai découvert la mode pendant mes études. Elles ont refait surface lorsque je suis arrivée chez Dior et que j’ai recherché de nouvelles interprétations de la féminité dans la création de mode”, confie la directrice artistique poursuivant à travers cet ouvrage sa praxis féministe.
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