Rock hagard de bucheron.
Après le romantisme fragile de Famy hier, retour chez les sauvageons, les barbarons, les bûcherons. On aime Yak pour ses guitares en cascades, ses mélodies en zig-zag et sa voix de crooner sexy dans la tornade, qui rappelle le McCulloch des jeunes années Bunnymen. On aime surtout cette façon presque kraut de jouer un rock hagard, titubant autour d’une rythmique métronomique. Oui, on aime Yak. Les trois Londoniens ouvriront prochainement pour les Américains de The Districts : la grande kermesse de l’électricité. EDF comme sponsor, obligatoire.
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