Un brûlot pop-punk imparable, entre strass et crasse. Critique et écoute.
Terrible Feelings, The Estranged, Masshysteri, Autistic Youth ou Red Dons… Depuis une poignée d’années, le punk enfle d’un nouveau souffle créatif. Emmenée en sous-sol par les groupes des scènes de Portland ou d’Umeå en Suède, cette néo-conspiration – qui n’a rien perdu de ses idéaux do it yourself – s’est teintée de relents post-punk et enrichie d’incartades new-wave.
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Un regain de tension pour lequel la ville de Vancouver est également largement coupable : en libérant récemment le quartet White Lung, le Canada ajoute sa pierre au revival. Le quasi-girls-band se fend d’un troisième album hurlant et acéré, un conte noir, entre strass et crasse, poussées pop-punk et chant de prêtresse grunge. The shape of punk to come ? Elle tient exactement dans ce dix-titres.
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