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C’était l’événement live mondial du 30 mai, retransmis en streaming et désormais visible en rediffusion. A l’opéra de Sidney, The Cure a rejoué Disintegration, son chef-d’œuvre de 1989 dont le groupe fête ce mois-ci le trentième anniversaire de sa parution, après une salve de concerts aux antipodes. Robert Smith et les siens ont ouvert la soirée en interprétant quelques faces B et démos (Delirious Night, 2 Late, Babble), avant d’entonner, scrupuleusement dans l’ordre, leur inusable huitième album. De Plainsong à Untitled, en passant par les tubes intemporels Lullaby et Lovesong, The Cure a imposé, avec majesté et évidence, son règne sur la pop new-waveuse depuis quatre décennies. Avant de terminer la soirée en beauté avec Three Imaginary Boys et Pirate Ships, une reprise de Wendy Waldman, en rappel.
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