Un jeune label parisien donne un coup de frais au rock, de toutes obédiences. Critique.
Jeune label parisien qu’on vous conseille de garder à l’oeil, Beef Wellington sort une première compile qui sonne comme une déclaration d’intentions. En une dizaine de morceaux, c’est une illustration du rock qui se dévoile avec malice : il y a du shoegazing élégant (Dead Sea), de la pop romantique (Totem), du psychédélisme joueur (Le Mépris), du rockabilly tordu (Electric Discharge Machine) et une reprise étonnante de Polnareff par Mustang (Le Roi des fourmis). Un projet curieux et prometteur.
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