La pop effrontée et malicieuse d’une Française exilée à Londres. Critique et écoute.
Egérie yé-yé pour Anglo-Saxons traumatisés par Gainsbourg dans le rôle de l’homme à femmes, la Française Vanessa Contenay-Quinones gère avec une insouciance bluffante un agenda où se bousculent des collaborations avec Lou Reed, James Iha (Smashing Pumpkins), Scott Walker ou Madness. Moins vintage, plus electro, ce nouvel album aguicheur gagne en fermeté, en assise, ce qu’il ne perd pas en malice, en candeur, redéfinissant les canons de la pop FM, d’une variété de nos fantasmes : sur un autoradio d’Aston Martin, cheveux au vent (les siens).
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