Le blues d’une protégée de Dan Auerbach des Black Keys
Elle porte tellement chance que la Nasa voudra bientôt explorer la bonne étoile de Valérie June, signée par les esthètes londoniens de Sunday Best et prise sous son aile par Dan Auerbach des Black Keys. Débarquée de Memphis à la fin des années 00 avec sa voix qui sent la clope roulée, voire le moonshine, Valerie June joue roots mais des roots encore gorgées de sève – le blues en langue moderne. C’est une sorcière : elle ressemble à La Vouivre !
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