Aussi bizarre qu’excitant, le premier album d’Américains très sexy. Critique et écoute.
Chill et wave et ludique et sensuel, voire carrément sexuel, rétro et moderniste, sucré et pimenté, chaud et froid, rond et Technicolor, tubesque ou délicat ou électrifié, joliment tordu et gentiment cinglé, drôle et malin, premier ou second ou troisième degré, éclaté aux quatre vents pop… On peut dérouler à l’infini les qualificatifs pour In Heaven : tous s’appliquent tout à fait mais aucun ne suffit pleinement.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
Absolument inclassable, donc, le premier album des Américains de Long Island est un roudoudou collant pour aciduler les journées fades. Un coup de langue et elle y reste collée, indéfiniment, fascinée par la capacité du groupe, d’une chanson à l’autre, à changer de registre, de saveur, de ton, de son ou d’image.
{"type":"Banniere-Basse"}