Too late to die young n’est pas seulement le témoignage d’une lutte risquée entre quatre Petits Poucets et ? à la place de l’ogre ? quatre décennies de couplets-refrains pop. Il offre aussi à Tim Keegan l’occasion d’intégrer le cercle des organes de velours, fréquenté notamment par Lee Hazlewood ou Cohen. En échange des bons […]
Too late to die young n’est pas seulement le témoignage d’une lutte risquée entre quatre Petits Poucets et ? à la place de l’ogre ? quatre décennies de couplets-refrains pop. Il offre aussi à Tim Keegan l’occasion d’intégrer le cercle des organes de velours, fréquenté notamment par Lee Hazlewood ou Cohen. En échange des bons et sensuels services rendus à Kill your darlings (incarné en grande partie par Tim), Kid Loco est venu jouer le metteur en scène discret mais pointilleux. Jamais en manque d’espace, les chansons de Departure Lounge respirent à plein poumon le bon air psychédélique, s’égayent dans une nature généreuse, témoin quelques instrumentaux contemplatifs riches en sensations. Grâce à des arrangements d’équilibristes, une chaleur empruntée à l’école Motown, le quatuor anglais offre une rêveuse invitation au voyage sensoriel.
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