Folk, techno, psychédélisme et maléfices.
Ça mélange tout et son contraire, dans un noir brasier où se consument des lambeaux de folk, de techno, de psychédélisme et de maléfices. C’est normal : on est à Manchester où, comme disait si bien Tony Wilson, le boss de Factory : “Les règles de l’extérieur ne s’appliquent pas”. Et effectivement, ce qui semblerait ailleurs un cauchemar génétique, une monstruosité de laboratoire a pris vie sous le ciel bas de Manchester : entre plusieurs bizarreries disponibles dans son arsenal, le groupe a choisi cette étrange prog-pop pour son premier single. On est à Manchester et le chanteur se prénomme Liam. Toute ressemblance avec des groupes existant ou ayant existé m’étonnerait beaucoup.
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