Ces électroniciens français visitent le cosmos avec le sourire aux lèvres. Critique et écoute.
L’univers continue d’exciter les expérimentations des électroniciens. Allant piocher directement dans le disco et le krautrock, le duo français pousse le jeu du clin d’oeil jusqu’à adopter ce nom rappelant forcément l’un des plus vieux instruments électroniques, le thérémine.
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Le résultat est un condensé de gesticulations sonores, dont chaque riff electro est plus excitant et cosmique que le précédent, et où le côté futuriste – parfois clownesque et amusé – rappelle les débuts de Daft Punk. Entre les envolées furieuses de Justice et les abîmes plus confidentiels de Lindstrøm ou Composer, Theremynt signe donc un joyeux voyage de science-fiction, entre comédie et film d’auteur.
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