Country cosmique.
Tout, des photos au son, renvoie au Laurel Canyon des sixties/seventies californiennes : les arpèges de douze cordes enfumés comme les rouflaquettes négligées, le songwriting béat comme les vestes à franges de Gram Parsons. Nous sommes pourtant bien à Londres, dans l’East End fourmillant de 2015. Et ces Hibernatus rêvent, sans soute assistés de pousses obscures de cactus du désert, justement de la folle aventure de Gram Parsons et tentent de réanimer sa country cosmique, en une cérémonie païenne (cape comprise) qui fait chaud au cœur mais un peu froid dans le dos.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
{"type":"Banniere-Basse"}