Du psychédélisme parfait pour faire la sieste et des rêves agités. Critique et écoute.
The Feeling Of Love joue avec les nerfs, les anesthésie, les réduit à l’esclavage. Le groupe de Metz a parfois ralenti le tempo jusqu’au point mort, sous influence de tout un rock hébété par la lumière noire et les drogues roses, du Velvet à Syd Barrett, de Spacemen 3 à Brian Eno (Julee Cruise). Avec ce matériau noir et toxique, The Feeling Of Love, aidé par une voix plaintive et un orgue irraisonnable, triture une étrange pop qui a beaucoup gagné en légèreté, en onirisme, le jour où elle a claqué la porte de son garage.
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