Idoles de l’Amérique à cheveux longs, ces ados de Philadelphie affolent les réseaux sociaux et sont appelés à remplir les stades d’ici peu.
Au récent festival américain South by Southwest, The Districts n’ont joué que dans une salle de taille modeste, mais, déjà, sur les réseaux sociaux et dans les conversations mondaines, ceux qui affirment avoir vu ce concert sont si nombreux qu’ils pourraient remplir le Madison Square Garden.
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C’est dire l’excitation, voire l’affolement, que suscite la poignée de concerts et de chansons lâchés en pâture par ces adolescents affriolants de Philadelphie, capables sur un même titre d’adopter la sagesse de Neil Young, de dompter la fougue de Nirvana ou d’endosser la grande classe des Strokes. Comme souvent quand il y a de l’Amérique roots mais indocile dans l’air, c’est le label américain Fat Possum qui a signé ces godelureaux, déjà promis à la gloire, largement au-delà de leur district.
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