Il est vrai qu’aujourd’hui nous ne miserions pas un kopeck sur l’avenir du rock’n’roll et par conséquent guère plus sur celui des 60ft Dolls. Pourtant, égoïstement, à défaut d’être lucrative, nous leur souhaiterons une longue et prolifique vie à nos côtés. Un pied sur l’Angleterre de Jam, l’autre sur l’Amérique un peu plus amidonnée […]
Il est vrai qu’aujourd’hui nous ne miserions pas un kopeck sur l’avenir du rock’n’roll et par conséquent guère plus sur celui des 60ft Dolls. Pourtant, égoïstement, à défaut d’être lucrative, nous leur souhaiterons une longue et prolifique vie à nos côtés. Un pied sur l’Angleterre de Jam, l’autre sur l’Amérique un peu plus amidonnée des Figgs, un petit pas pour l’homme mais un bond d’humanisme, le trio de Richard Parfitt (dont le papa homonyme, non, juré, ne jouait pas dans Status Quo) est un British boom à lui tout seul. Les racines et la généalogie sous une même casquette. L’évocation de leur excellente reprise de The Universal sur un récent tribut aux Small Faces suffira à signer la sécession entre les réfractaires et les partisans. Pour ces derniers, The Big 3 vaut vraiment le détour. Mais l’encre et la salive sont si chères…
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