Retour bruyant de brillants shoegazers américains. Critique et écoute.
Sans rivaliser avec la beauté des nappes spectrales de Ashes Grammar et Scribble Mural Comic Journal, ce quatrième album de A Sunny Day In Glasgow, financé par ses fans, contient une belle brochette de ballades en apesanteur (Crushin’), de voix qui charment les sens et de tourbillons de guitares. Et surtout, un single de choc : Never Nothing (It’s Alright (It’s Ok), où ces doux rêveurs délaissent les circonvolutions bruitistes des dix autres compositions pour se faire plus angéliques et éthérés.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
{"type":"Banniere-Basse"}