Ceux qui ont récemment fantasmé sur les looks impensables des Kings Of Leon, se sont découvert une passion pour le patte d’éph et la guitare bavarde dans le That 70 s Show ou une soudaine boulimie de rock West-Coast baba-pépère en sirotant The Thrills, se doivent maintenant de composter ce billet aller-simple, en classe touriste, […]
Ceux qui ont récemment fantasmé sur les looks impensables des Kings Of Leon, se sont découvert une passion pour le patte d’éph et la guitare bavarde dans le That 70 s Show ou une soudaine boulimie de rock West-Coast baba-pépère en sirotant The Thrills, se doivent maintenant de composter ce billet aller-simple, en classe touriste, pour les années 70. Ils sont venus, ils sont tous là pour ce trip de routard où le génie nonchalant (Dr. Hook, le merveilleux Ode to Billy Joe de Bobbie Gentry ou The Bottle, grand cru de Gil Scott-Heron) côtoie quelques plaisirs honteux, généralement moustachus et velus (Doobie Brothers, Michael Franks ou le toujours charmant A Horse with No Name d’America). Summer Breeze s’écoute de préférence dans un camping car Volkswagen, ou se danse lascivement autour d’un feu de camp. Ce que vous mettez dans la pipe ou la cigarette reste à votre entière discrétion.
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